Interview de Boutros Helmi

Interview de M. Boutros Helmi,

par Stéphane Alaux, VIP DIGITAL BODYGUARD, CEO du cabinet E Réputation Net Wash

Né à Paris le 17 mars 1975, Boutros Helmi est un curateur de musée de renommée. Mais pas que… Père de deux enfants, ce grand passionné d’art a fait de l’égyptologie et de la Grèce antique sa spécialité. C’est donc tout naturellement qu’il est devenu passionné du voyage, et a visité les quatre coins du monde et notamment la terre des Pharaons, l’Egypte. Helmi Boutros a gracieusement accepté de répondre à nos questions. Découvrez son interview passionnante…

Est-ce que vous pouvez vous présenter pour les lecteurs qui ne vous connaissent peut-être pas ?

Helmi Boutros : Bien sûr. Je m’appelle Boutros Helmi, né à Paris le 17 mars 1975. Je suis curateur de musée, grand passionné d’égyptologie et de Grèce antique, deux civilisations que je consacre beaucoup de temps à étudier. Au fil de mes voyages, dont je suis aussi passionné, j’ai eu l’occasion de visiter toute l’Europe et, aussi, l’Egypte. A chaque fois, je suis marqué par mes visites en terre des Pharaons. Il est vrai que cette période historique me fascine. Sur un plan plus personnel, je suis père de deux enfants, je profite d’ailleurs de cette occasion pour leur faire un petit coucou.

Commençons par votre carrière, comment êtes-vous devenu curateur de musée ?

Helmi Boutros : en fait, dès mon plus jeune âge et aussi loin que je m’en souvienne, je me suis beaucoup intéressé au monde de l’art et des expositions. J’aimais tellement cet univers que, très jeune, j’ai décidé d’en faire mon métier. Je suis tombé amoureux des musées. Je vais vous faire une confidence : je suis toujours fasciné par ses endroits fabuleux, bien que je les fréquente tous les jours. Après donc avoir décroché mon bac littéraire au lycée Général Claude Monet à Paris, je me suis orienté vers des études supérieures spécialisées pour devenir, justement, curateur de musée. J’ai dû déménager à Lyon pour intégrer l’Ecole Internationale des Métiers de la Culture et de la Communication (IESA). J’en garde des souvenirs exceptionnels.

Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur votre parcours à l’IESA et pourquoi vous avez choisi cette école ?

Helmi Boutros : pour moi, le choix a été vite fait. Après m’être renseigné sur L’IESA, j’ai su que c’était un établissement d’enseignement supérieur privé, reconnu par le Ministère de la Culture et de la Communication qui forme des étudiants spécifiquement aux métiers du marché de l’art et de la culture. Je n’avais pas besoin de beaucoup plus pour me convaincre que l’IESA était la meilleure option pour moi. J’ai donc intégré l’école et j’y ai décroché mon titre d’expert en commercialisation et diffusion des œuvres d’art, qui est un diplôme de niveau bac + 5.

Qu’avez-vous fait après l’obtention de votre diplôme à l’IESA ?

Helmi Boutros : immédiatement après avoir décroché mon diplôme, j’ai eu l’immense joie d’être recruté par le musée des Tissus et des Arts Décoratifs de Lyon. Une institution extraordinaire dans laquelle j’ai beaucoup appris, notamment en organisant plusieurs expositions en tant que curateur du musée. Les années que j’ai passé au musée des Tissus et des Arts Décoratifs de Lyon ont été extrêmement enrichissantes, que ce soit sur un plan professionnel que personnel. C’est donc avec une petite pincée au cœur que j’ai plié bagages, après plusieurs années de bons et loyaux services, pour revenir à ma ville natale : Paris. Paris m’avait beaucoup manqué et je ne m’imaginais plus vivre loin de la ville lumière. Je rentre donc à Paris où j’ai eu la chance de travailler plusieurs années à la Cité des sciences et de l’industrie, un des meilleurs musées scientifiques de la ville. Après avoir fait mes armes au musée scientifique, j’ai eu le privilège d’être recruté au poste de curateur du très prestigieux musée national d’histoire naturelle. Je peux vous dire que j’en étais spécialement fier. Très vite, je participe à la réorganisation de plusieurs expositions temporaires sur divers thèmes. J’ai de très bons souvenirs de cette expérience très enrichissante. Et actuellement, je suis curateur au musée de l’Homme. Voilà, vous avez tout !

Très bien, merci. Beaucoup de Français ne savent pas en quoi consiste exactement le métier de curateur de musée. Pouvez-vous nous présenter le métier ?

Helmi Boutros : il est vrai que le métier est assez méconnu dans les rangs du grand public. Mais si je vous dis « commissaire d’exposition » ? Je pense que cette appellation est plus connue que celle de « curateur », bien qu’il s’agisse du même métier en fait. Le curateur de musée est donc un commissaire d’exposition, dont le cœur de métier est de gérer les collections d’œuvres d’art, mais aussi d’organiser les expositions soit pour le musée, ou pour une galerie d’art ou une fondation. Au jour le jour, un curateur s’occupera de l’acquisition d’œuvres d’art pour le musée. Il sera également en charge de collectionner et cataloguer les différentes œuvres d’art. Et, point très important, il est de sa responsabilité d’assurer l’entretien général des œuvres d’art sous sa responsabilité. Cela ne s’arrête pas là. De par son statut d’expert en art, le curateur est amené à être impliqué dans la recherche à travers la rédaction d’articles et la préparation / intervention dans des conférences thématiques.

En outre, il est de la responsabilité du curateur d’organiser les expositions. Pour ce faire, il lui revient d’installer les œuvres et les objets, mais aussi de négocier les prêts d’autres œuvres provenant d’institutions externes. Son rôle s’étend jusqu’aux petits détails tels que la rédaction des étiquettes, du matériel d’interprétation, des panneaux d’information…

On ne le sait peut-être pas, mais on dit que curateur est le plus jeune métier du monde. Il faut savoir que le métier est apparu, tel qu’on le connait aujourd’hui, il y a moins de 50 ans. Cela ne l’a pourtant pas empêché de devenir un maillon essentiel de l’art contemporain. Evidemment, ce n’est pas le plus jeune métier du monde dans l’absolu, c’est une exagération, mais il fait certainement partie des plus récents. Historiquement, c’est le Suisse Harald Szeemann qui a inventé le métier dans les années 1960. Ce sont les Anglais qui lui donnent le nom de « curator », francisé en curateur, signifiant « celui qui prend soin » en latin. 

Comment devient-on curateur de musée ? En d’autres termes, quelles sont les qualités requises pour occuper ce poste ?

Helmi Boutros : naturellement, la première compétence d’un curateur ou d’un commissaire d’exposition est d’avoir une bonne connaissance de l’art en général, couplée à une expertise pointue en histoire de l’art. Vous n’êtes pas sans savoir qu’il existe différentes variantes, ou spécialités en art. C’est pourquoi le curateur doit faire montre d’une expertise approfondie d’un sujet en particulier. Par exemple, s’il est appelé à exercer dans un musée spécialisé en art moderne, le curateur doit avoir une maîtrise parfaite de cette discipline. Mais au-delà des aspects techniques, le curateur doit posséder d’autres qualités managériales, humaines. Il doit avoir le contact facile, et être capable d’entretenir des relations privilégiées avec les différents partenaires du musée (institutions, artistes, collectionneurs…). Et comme il est souvent amené à organiser des expositions, le commissaire d’exposition doit avoir des compétences avérées en événementiel.
Il arrive que, et c’est assez rare il faut dire, le curateur ait à travailler sur des projets de marketing ayant pour objectif de faire la promotion des événements organisés par l’institution dans laquelle il exerce ses fonctions. Il doit donc, idéalement, avoir des notions en marketing. Par ailleurs, il est de la responsabilité du curateur de faire des choix successifs en matière de médiation et de scénographie. Prenons l’exemple d’un artiste qui a fait dix ou quinze œuvres, peu importe le nombre. Se pose alors la question de savoir s’il serait judicieux de toutes les exposer, d’en exposer qu’une seule ou de commander une œuvre spécialement pour l’événement ? Le choix n’est pas simple, car il doit tenir compte de plusieurs facteurs liés aux artistes, aux œuvres et à l’espace d’exposition. Tout cela pour dire que le curateur doit être capable de gérer les relations et de tenir sa position centrale au cœur de l’organisation.

Au-delà du monde de l’art, le métier de curateur existe également aujourd’hui dans l’univers du web et de la communication, ce qui présuppose d’autres compétences et qualités, en plus de celles que je viens d’évoquer. 

On vous sent passionné par le métier. Avez-vous d’autres passions, en plus de votre profession ?

Helmi Boutros : il est vrai que je trouve le métier de curateur passionnant, enrichissant à souhait, et à différents niveaux. Cela fait des années que j’exerce, et j’apprends des nouvelles choses tous les jours, c’est merveilleux. Il ne fait point de doute que mon métier est ma passion numéro un. Mais je suis aussi un grand passionné d’égyptologie

Justement, parlez-nous de votre passion pour l’égyptologie…

Helmi Boutros : ça a commencé durant mon enfance. Mon père, homme d’une grande culture, aimait regarder des documentaires, tous sujets confondus. Je me souviens qu’enfant, j’étais un jour avec lui devant la télé. Nous regardions un documentaire sur les mystères de la construction des pyramides. C’était une émission scientifique, loin des documentaires sensationnalistes qui avaient tendance à attribuer la construction des pyramides aux extraterrestres et autres mythes et légendes. J’avais 15 ans à l’époque, et j’étais impressionné par ces ouvrages extraordinaires. J’étais obsédé par le sujet, je voulais à tout prix percer le mystère de la construction des pyramides. J’avais développé quelques théories, que je gardais pour moi évidemment. J’étais tellement fasciné par la civilisation pharaonique qu’il m’arrivait de passer des journées entières dans les bibliothèques à dévorer tout ce qui me tombait sous la main sur le sujet. Je cherchais des réponses à des questions qui me laissaient perplexe. Comment vivaient les gens de l’époque, comment étaient-ils organisés politiquement, quid de leur religion… Cela fait 30 ans que je m’intéresse de près au sujet.

En toute modestie, mes recherches m’ont permis d’avoir une certaine expertise en tant qu’égyptologue, que j’ai pu bonifier au fil de mes visites en Egypte. Je ne compte pas m’arrêter en si bon chemin. Bien au contraire, mon souhait est de contribuer aux travaux de recherches internationaux ainsi qu’aux efforts de fouilles archéologiques pour déceler d’autres mystères de cette prestigieuse civilisation. L’idée d’écrire des ouvrages résumant mes recherches me traverse l’esprit également.

On peut dire que vous êtes un expert en égyptologie, après tout cela fait 30 ans que vous l’étudiez…

Helmi Boutros : je n’irais pas jusque-là. Vous savez, l’égyptologie est sujet extrêmement vaste où beaucoup reste à découvrir et de nombreux chercheurs s’y intéressent. Mais il est vrai que j’ai beaucoup voyagé en Egypte à la recherche de réponses satisfaisantes, et j’ai eu le plaisir de découvrir en détails plusieurs sites passionnants, notamment la pyramide de Khéops à Gizeh. Je vais vous faire une confidence : la première fois que je me suis retrouvé devant cette pyramide, j’ai été totalement ébahi par les dimensions démesurées de la construction. Et qu’elle ne fut ma surprise quand j’ai appris qu’elle a été construite en moins de 20 ans !

Maintenant je projette de voyager en Egypte pour être tout près des récents lieux de découvertes à Saqqarah et la Vallée des morts. Ce que les archéologues égyptiens ont pu accomplir en 2020 est surprenant surtout dans le contexte sanitaire compliqué que nous connaissons. Il y a même un documentaire qui sera diffusé fin octobre sur Netflix qui aborde leurs prouesses et l’importance des découvertes qu’ils ont faites ces derniers mois. Pouvoir participer ne serait-ce que de loin à de tels exploits me motive à un point que vous ne pouvez pas imaginer. Il me tarde d’y aller.  

Pouvez-vous nous raconter brièvement l’histoire de l’Egypte ancienne, peut-être que cela fera naître quelques vocations.

Helmi Boutros Il est quelque peu difficile de résumer l’histoire d’une si importante période fondatrice de notre civilisation, mais voici ce que je peux dire. L’Égypte ancienne était l’une des plus grandes et des plus puissantes civilisations de l’histoire du monde. Elle a duré plus de 3000 ans, de 3150 avant J.-C. à 30 avant J.-C.

Vous n’avez qu’à voir la splendeur des pyramides de Gizeh pour comprendre à quel point l’histoire de l’Egypte ancienne est vaste et glorieuse. Il serait très prétentieux que de dire que nous pouvons en parler dans un ouvrage, ou deux, voire même dix. Pour ma part, cela fait 30 ans que je m’intéresse à cette civilisation et je peux vous dire que jusqu’à maintenant il m’arrive de découvrir des choses que je ne connaissais pas avant.

Le Nil

La civilisation de l’Égypte ancienne était située le long du Nil, dans le nord-est de l’Afrique. Le fleuve était la source d’une grande partie de la richesse de l’Égypte ancienne. De grandes villes égyptiennes se sont développées le long du Nil à mesure que le peuple égyptien devenait expert en irrigation et pouvait utiliser l’eau du fleuve pour faire pousser des cultures riches et rentables. Le cours d’eau a fourni aux Égyptiens de la nourriture, de la terre, de l’eau et des moyens de transport. De grandes inondations se produisaient chaque année et fournissaient un sol fertile pour la culture de denrées alimentaires.

Royaumes et périodes

Les historiens regroupent généralement l’histoire de l’Égypte ancienne en trois grands royaumes appelés l’Ancien, le Moyen et le Nouvel Empire. C’est à cette époque que l’Egypte ancienne était la plus forte. Les périodes entre les royaumes sont appelées périodes intermédiaires.

L’Ancien Empire, qui débute au 3e millénaire avant notre ère, est considéré comme la première grande période de prospérité et de stabilité politique de l’Egypte. Les pharaons de l’Ancien Empire, qui disposaient d’un système d’administrateurs efficaces, ont commandé un certain nombre de projets d’irrigation à grande échelle qui ont contribué à la prospérité économique de l’empire. Ils ont également créé une bureaucratie chargée de collecter les impôts et d’administrer un système judiciaire sophistiqué, et ils ont fait construire un certain nombre de pyramides et d’autres bâtiments de grande envergure. L’Ancien Empire a pris fin vers 2 200 avant J.-C. après une série de sécheresses et de conflits politiques qui ont entraîné l’effondrement du gouvernement égyptien.

Après près de deux siècles de stagnation politique et d’instabilité économique, connus sous le nom de Première période intermédiaire, le Moyen Empire égyptien marque une autre période de grande prospérité. À partir de 2 030 avant notre ère, les pharaons de la onzième dynastie, après une série de campagnes militaires réussies pour assurer leur pouvoir, ont promu des projets d’irrigation autour du Nil qui ont créé une grande prospérité économique. Parallèlement à cette prospérité et à une plus grande distribution des richesses, les Egyptiens de haut rang, en dehors de la famille immédiate du pharaon, ont demandé à avoir accès à l’au-delà. Par conséquent, un certain nombre de nobles et de prêtres égyptiens ont été momifiés et enterrés au cours de cette période. Le Moyen Empire s’est éteint vers 1 650 avant J.-C. après qu’une série de récoltes insuffisantes ait affaibli le pouvoir du pharaon.

La deuxième période intermédiaire, marquée par une série de souverains faibles et étrangers, a été suivie par le Nouvel Empire d’Egypte. Les pharaons du Nouvel Empire ont inauguré une période de prospérité en favorisant les alliances diplomatiques avec leurs voisins. Le Nouvel Empire a pris fin après une série de défaites militaires et de troubles internes qui ont affaibli le pouvoir du pharaon, remplacé par le pouvoir croissant de la prêtrise.

Culture

L’Égypte ancienne était riche en culture, notamment en matière de gouvernement, de religion, d’arts et d’écriture. Le gouvernement et la religion étaient liés puisque le chef du gouvernement, le pharaon, était également le chef de la religion. L’écriture était également importante pour le fonctionnement du gouvernement. Seuls les scribes savaient lire et écrire et ils étaient considérés comme des gens puissants.

Les Égyptiens étaient connus également à cette époque pour être de bons médecins et soldats. Les hiéroglyphes trouvées dans plusieurs tombes funéraires montrent que les pharaons avaient déjà développé leur propre médecine à base de plantes qu’ils cultivaient. Également, ils étaient des guerriers farouches, qui ont pu repousser les invasions de plusieurs ennemis.

Pyramides et trésor

Les pharaons d’Égypte étaient souvent enterrés dans des pyramides géantes ou dans des tombes secrètes. Ils croyaient qu’ils avaient besoin d’un trésor à enterrer avec eux pour les aider dans l’au-delà. Par conséquent, les archéologues ont beaucoup d’objets et de tombes bien conservés à examiner afin de découvrir comment vivaient les anciens Égyptiens.

D’ailleurs, comme vous avez pu le remarquer récemment, les archéologues continuent de découvrir des sanctuaires datant de plus 2 500 ans, notamment dans la région de Saqqarah. Les fouilles ont permis durant les derniers mois de découvrir des tombes qui sont intactes ! C’est justement cela qui me fascine. Le sentiment d’avoir été l’une des premières personnes à être en contact avec des monuments d’une telle valeur, c’est quelque chose que j’ai toujours rêvé de vivre. D’ailleurs je compte bien ne plus me contenter du simple statut de chercheur ou de connaisseur et de contribuer dans la mesure du possible aux prochaines découvertes dans la région de Saqqarah ou la vallée des morts.

La fin de l’Empire

L’ancien empire égyptien a commencé à s’affaiblir vers 700 av. J.-C. Il a été conquis par un certain nombre d’autres civilisations. Le premier à conquérir l’Égypte fut l’Empire assyrien, suivi une centaine d’années plus tard par l’Empire perse. En 332 av. J.-C., Alexandre le Grand de Grèce a conquis l’Égypte et a créé sa propre famille dirigeante appelée la dynastie ptolémaïque. Enfin, les Romains sont arrivés en 30 avant J.-C. et l’Égypte est devenue une province de Rome.

Néanmoins, toutes ces civilisations passées n’ont pu faire oublier la glorieuse époque des pharaons. Les monuments laissés par les différentes dynasties ayant gouvernées durant cette période démontrent à quel point cette civilisation fut glorieuse. Comme je l’ai mentionné en répondant à la question précédente, on continue à ce jour de trouver des vestiges et des tombeaux pharaoniques qui illustrent avec précision le mode de vie de l’époque. Certes aucune découverte n’a pu encore égaler cette de Toutankhamon par Howard Carter, mais l’Egypte réserve aux passionnés comme moi bien d’autres surprises.

Merci M. Helmi Boutros.

F.A.Q

Question : Boutros Helmi est-il un expert dans le domaine de l’égyptologie ?

Non, c’est un passionné de cet univers mais ce n’est pas sa spécialité.

Quel est le métier de Helmi Boutros ?

Helmi Boutros est curateur de musée, son métier consiste à concevoir et d’organiser des expositions. Il est de sa responsabilité de définir les thèmes des expositions, choisir et fédérer des artistes selon les œuvres à exposer, négocie avec les droits d’utilisation ou d’emprunt avec propriétaires.
 
Est-ce qu’il y a un lien entre la passion de Boutros Helmi et son métier?
 
Oui ! pendant ces études Helmi Boutros qui le préparait au métier de curateur de musée, il avait un attrait certain pour différentes figures de l’art en générale et l’art contemporain en particulier. Le point commun qu’il a découvert c’est que tout les artistes qu’il étudiait étaient inspiré d’une façon ou d’une autre de l’égyptologie et la Grèce antique.
Boutros Helmi a-t-il déjà visiter l’Egypte ou bien la Grèce ?
Oui, étant un boulimique de culture, Boutros Helmi a consacré ses voyages pour se rapprocher le plus possible des restes de c’est deux mondes qui le font rêver.

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