E-REPUTATION ENTREPRISES

Parce que l’image de votre société est votre meilleur atout

Entreprises, pourquoi gérer votre e-réputation est une priorité ?

Pourquoi gérer l’e-réputation de son entreprise ?

La perte de contrôle de l’e-réputation d’une entreprise est plus fréquente qu’on ne le croit, car trop souvent, les services marketing sous-estiment la capacité de nuisance d’une identité digitale malmenée.

Ces derniers sont concentrés sur la génération d’actions pour générer du lead, du CA… Mais quid de la notoriété numérique de l’entreprise et de l’e-mage du dirigeant ?

D’ailleurs, il est très fortement recommandé de cesser toutes actions de « com » tant que les problèmes d’e-réputation ne sont pas résolus et que la crise soit maîtrisée.

VOTRE IMAGE SUR LA TOILE

Entreprises, quelle que soit votre taille, votre image sur la toile est devenue un enjeu stratégique et économique majeur.

Le monde de l’information économique a bien changé. Aujourd’hui, un prospect, un futur associé ou un nouveau collaborateur peut, en quelques secondes, avoir accès :

• A vos produits et à leurs détracteurs,
• A vos marques et aux commentaires malveillants sur ces derniers,
• A vos annonces d’embauches et aux commentaires diffamatoires d’anciens salariés etc…
• Ces informations étant néfastes et contre-productives pour votre structure, elles doivent être maîtrisées, nettoyées ou éradiquées.

LES SOLUTIONS
D’E-RÉPUTATION ENTREPRISE

Net’Wash met en place une solution répondant aux besoins de votre société, de vos marques, évènements et produits.

Le droit à l’oubli, le déréférencement et globalement, la gestion de l’e-réputation, doivent être confiés à des professionnels. Net’Wash met en place une solution répondant aux besoins de votre société, de vos marques, événements et produits. L’équipe de l’agence travaillera de concert avec votre team communication ou l’interlocuteur de votre choix afin de préserver et respecter les objectifs marketing.

Comment gérer une crise d’e-réputation entreprise ?

La seule solution disponible et efficace est d’inonder le Web d’informations positives ou neutres, afin de proposer d’autres éléments plus récents et pertinents (avalanche de mots-clés positifs, répétition limitée mais réelle de certains mots, etc.) pour que Google les indexe au-dessus de ces révélations nuisibles. Cette crise e-réputationnelle est une crise à gérer, comme tous les cas de crise dans d’autres domaines. En général, une crise étant, par définition, quelque chose d’inhabituel, il faut faire appel à un expert pour la traverser sans trop de mal. Dans le cas présent, ce sont les agences d’e-réputation (dont la compétence est reconnue et dont les actions sont validées par des avocats).

Qui gère cette crise  d’e-réputation entreprise ?

Première question : y a-t-il quelqu’un qui s’occupe de votre e-réputation ou de celle de votre entreprise ?
Attention, il ne faut pas confondre le métier de gestionnaire de crise d’e-réputation avec celui de webmaster !
Réfléchissez bien. Est-ce votre responsable de communication ? Votre directeur commercial ? Votre responsable digital ? L’une de ces personnes a-t-elle été formée à cette tâche ?

Cela paraitrait logique, certes, puisque ce sont ceux qui doivent jouer avec le Web de plus près au quotidien. Pourtant, après réflexion, déléguer votre image digitale ou celle de votre entreprise à ce type de profil est plutôt inquiétant…
Pourquoi ? Les cadres d’aujourd’hui sont en perpétuelle recherche de nouvelles opportunités professionnelles et ce phénomène est accéléré et facilité par le digital.

Lorsque vous allez sur la page LinkedIn de vos collaborateurs-cadres, vous pourrez voir la mention : “A l’écoute du marché ? !”
Avec un peu de logique, vous devriez rapidement additionner 2 + 2… Allez-vous confier la gestion de votre image à quelqu’un qui peut se retrouver chez votre concurrent dans quelques mois ?

Les salariés peuvent-ils influer sur l’e-réputation de votre entreprise ?

Les salariés de l’entreprise, les cadres et les dirigeants, toute l’entreprise est concernée, du moins ceux qui tiennent à garder leur boulot, et ils peuvent bien évidemment prendre part à cette bonne gestion. Il s’agit alors de travailler en bonne intelligence et avec le soutien des équipes marketing, de branding, des agences de com, des attache?(e)s de presse, etc. Cela pour coller au plus près des objectifs de marketing de l’entreprise.

Faut-il envisager une stratégie de prévention pour l’e-réputation de son entreprise ?
Bien évidemment….

Mais le principe de protéger son e-réputation (ou d’anticiper les problèmes qui finissent toujours par surgir) n’est pas entre? en vigueur dans les politiques de communication des dirigeants.

Quand le problème survient, c’est à un moment où l’on est déjà fragilisé et où le coût de la prestation semble « inabordable », tout simplement car il n’a pas été prévu au budget et qu’il faut trouver un moyen de le financer… C’est donc une grave erreur de ne pas intégrer la protection et le développement de l’image digitale dans ses campagnes de communication.

En effet, avec la baisse notoire de l’impact des médias traditionnels, me?me si ceux-ci sont actuellement en train de se réinventer sur le Web, notamment au niveau régional, les pure players du Web occupent le terrain depuis trop longtemps pour être considérés comme une quantité négligeable, avec tous les défauts que l’on a longuement énoncés précédemment.

Les attaques en diffamation, bad buzz et fake news sont indissociables du Net… Pour une entreprise le risque de se faire démolir sur la Toile est une fatalité à plus ou moins long terme, et ce, que l’on soit en France ou à l’étranger. N’oublions jamais de compter en milliards d’aficionados les membres de réseaux sociaux et lecteurs de sites d’info web…

Une société peut-elle gérer elle-même son e-réputation entreprise ?

Ma réponse à cette question est toujours un peu sarcastique : si vous voulez « bricoler » votre e-réputation, je répondrais oui. Par contre, si vous avez conscience des enjeux que représente votre e-réputation (en termes de chiffre d’affaires, de notoriété corporate et de ressources humaines) je répondrais NON.

L’e-réputation n’est pas l’affaire d’un webmaster, d’un community manager ou d’une attachée de presse. L’e-réputation fait appel à toutes ces spécialités certes, mais l’essentiel de l’expertise réside dans la maîtrise du SEO : la capacité à « gonfler à l’hélium » les contenus positifs qui vont composer l’identité digitale de votre entreprise.

En cas de crise, de bad buzz , d’avis négatifs a? gérer, l’agence spécialisée est incontournable. Mais elle l’est encore plus pour éviter la crise, via la mise en place d’une stratégie de prévention.

Les 10 points que j’aborde ci-dessous sont cruciaux pour choisir votre futur Nettoyeur du Net. J’ajoute que la non-réponse ù tout ou partie de ces 10 points est éliminatoire.

1. L’agence spécialisée doit être dotée d’équipes de chefs de projet et de webmaster spécialisés en SEO (référencement naturel dans les moteurs de recherche) . Les agences de référencement et les agences e-réputation ont le même terrain de jeux.
2. Justifier d’une expérience en SEO de plus de dix ans. Beaucoup de « bricoleurs » du Net s’improvisent « experts en e-réputation » mais n’ont pas plus de quelques mois d’expérience. L’odeur de l’argent attire toujours beaucoup d’usurpateurs… Ce critère des dix ans réduit de 95 % l’effectif des agences à sélectionner.
3. Être capable de montrer du résultat et de donner des références.
4. Posséder ses propres équipes de rédacteurs. Le top étant d’avoir des rédacteurs natifs pour les langues étrangères.
5. Avoir établi des partenariats avec des acteurs reconnus, « pointures » dans le domaine juridique (exemple : www.alain-bensoussan.com).
6. Posséder sa propre technologie d’enfouissement.
7. Disposer d’un département R&D pour anticiper les évolutions de l’algorithme.
8. Être capable de proposer des garanties de résultats, par exemple : le nettoyage de la première page de Google GARANTI.
9. Travailler avec une équipe composée au minium de trois intervenants :
– Chef de projet senior.
– Expert SEO.
– Rédacteur senior.
10. Assurer la confidentialité.

Doit-on surveiller  l’e-réputation de l’entreprise ?

Bien sûr ! Surveiller votre e-réputation OUI, mais il faut la surveiller en temps réel.
Pour anticiper correctement, il faut pouvoir situer l’origine potentielle des attaques et « tirer plus vite que son ombre »…

Pour pouvoir surveiller ce qui se dit sur soi, il faut aller partout et le faire de manière professionnelle, en veillant à mettre à jour les mots-clés et tous les vecteurs de recherche. On peut toujours écumer les pages de Google chaque jour, mais l’efficacité? de cette solution est très faible et c’est une grande perte d’énergie !

Heureusement, il existe de nombreuses solutions de veille plurimédia : Mention, Prixan, Sindup, Brandwatch, Hootsuite, Digimind, Meltwater, Alerti, etc. Ces solutions professionnelles permettent de surveiller toutes les sources d’information web telles que les sites, les blogs, les forums, les réseaux sociaux, les vidéos, les images… On a ainsi le moyen d’être tenu informé en temps réel de ce qui se dit sur soi ou sur son activité.

On peut aussi opter pour des outils spécialisés, comme Pickanews, Docteur Tweety, 123people, YouSeeMii, SocialMention, etc.
Aussi surprenant cela soit-il, ce type d’opérations demande de l’organisation : un plan de veille doit être mis en place pour savoir où chercher et quelles sources doivent être surveillées. Il faut aussi travailler une liste de mots-clés associés à la recherche, afin de pouvoir hiérarchiser les alertes par ordre d’importance, ou d’urgence… Ce plan de veille et les listes doivent être mis à jour régulièrement car le contexte évolue très vite, les concurrents et leurs produits aussi…
C’est donc un véritable job à plein-temps, incontournable pour la bonne santé de l’entreprise, qui doit être affecté à quelqu’un en interne ou délégué à un cabinet spécialisé.

Comment mesurer facilement  sa notoriété sur le web :

L’image de marque d’une entreprise est toujours un sujet difficile à appréhender, du fait de la rapidité et de la volatilité des commentaires et des parutions. Le fond et la validité des commentaires est aussi à mettre en question :

Le commentaire posté est-il un « vrai » commentaire ? la personne qui l’a rédigé est-elle une personne exagérément optimiste ou pessimiste ? Est-ce une personne téléguidée par un concurrent ?

Donc tout ça est à prendre avec des pincettes et il faut naviguer à vue pour évaluer plus ou moins la notoriété que l’on obtient sur le web. Les emojis sont une manière rapide et visuelle de « prendre la température pour ce qui concerne les visiteurs lambda. Les parutions des spécialistes, blogueurs, influenceurs ou journalistes donneront de manière plus évidente la tendance montante ou baissière de la réputation de votre entreprise…

Quels leviers pour améliorer  l’e-réputation de mon entreprise ?

Si l’on veut être concis, la E-réputation (réputation en ligne) peut être définie comme « les bruits qui courent » sur la toile, à propos de votre entreprise. Google, premier moteur de recherche au monde, en est le principal crieur public.

Imaginons votre e-réputation à l’image de votre maison : vous veillez à l’entretenir régulièrement, aspirateur et lavage dans toutes les pièces et époussetage des bibelots sur les meubles. Bref, vous maitrisez la première image que vos hôtes ont de votre foyer. Oui mais voilà, si l’un d’eux pousse la porte des sanitaires, il découvre une pièce en manque de propreté, car, pris par le temps, vous en avez omis le nettoyage méticuleux. Vous entendez déjà les ricanements étouffés de vos hôtes à vos oreilles et la médisance entacher votre réputation. Ce n’est pas tout. À la cave et dans le grenier, une menace silencieuse gagne du terrain : une invasion de rongeurs se prépare. De là, vous vous dites qu’une gouvernante et un dératiseur ne seraient pas de trop …

Cette petite fable montre que si vous semblez maitriser la réputation de votre entreprise en « tenant la maison », des failles sont malgré tout présentes. Elles n’attendent qu’une chose pour se révéler au grand jour : le moment de leur découverte ou l’offensive d’une attaque préméditée !

Constat : Vous maitrisez ce que vous dites de vous-même mais pas totalement ce que vos hôtes disent de vous.
Posons-nous à présent la question suivante : sur le web et concernant cette fois votre e-réputation, quels sont vos hôtes ? Ou plutôt, quelles sont les parties-prenantes de votre e-réputation ?

Levier n°1 : votre marque, votre entreprise, comment les présentez-vous ?

Votre entreprise communique et prend la parole sur la toile : communiqués de Presse, posts et réponses sur les réseaux sociaux, offres d’emploi, bilans, compte-rendu d’A.G. etc … Autant de risques de commettre une erreur. En 2019, le scandale de Bicky Burger, une enseigne belge de fast-food, est un bel exemple d’autodestruction provoqué par l’entreprise elle-même. La campagne de communication mettait en scène un personnage masculin de bande dessinée frappant une femme parce que le burger qu’elle avait apporté n’était pas un burger Bicky. Violence conjugale sur fond de misogynie = bad buzz, CQFD.

Levier n°2 : partenaires, clients, salariés, acteurs de votre écosystème

Sur un plan purement pratique et business, l’entreprise se soucie de sa marque et de son image, mais elle oublie souvent que tous ses partenaires, fournisseurs ou clients constituent un ensemble des parties-prenantes qui lui sont rattachées, de près ou de loin. Et tout ou partie de microcosme est susceptible de vous causer du tort. Un exemple : Quand Samsung rappelle en 2016 des millions de téléphones car les batteries fabriquées par l’un de ses sous-traitants se mettent à exploser à cause d’un défaut de fabrication, on comprend vite la réaction en chaine à laquelle on s’expose. Quelle que soit la taille de votre entreprise, vous n’êtes pas à l’abri d’une faille de ce style.

De la même manière, comme dit plus haut vos salariés ont aujourd’hui la parole via des sites d’avis comme indeed ou glassdoor et contribuent à faire ou défaire l’image de votre entreprise.

Levier n°3 : Internautes, influenceurs et blogueurs, tous friands de se faire une place sur le web…

Les internautes en général, tous embarqués sur le folle rivière Internet

Aujourd’hui, chaque internaute, peu importe son âge ou sa CSP, peut faire et défaire une réputation via la rédaction d’avis et de commentaires en ligne. D’autres préféreront la publication sur des blogs. La notoriété d’un établissement hôtelier, hier faite ou défaite par les grands guides culinaires, se joue aujourd’hui bien plus sur TripAdvisor que dans les pages du célèbre livre à la couverture rouge étoilée de blanc.

Les influenceurs, têtes de pont du commerce de marque

Une autre catégorie d’internautes fait depuis quelques années la pluie et le beau temps sur la réputation des entreprises : les influenceurs. Suivis par des milliers, voire des millions de personnes dans le monde, la portée de leur actes numériques est considérable et potentiellement dévastatrice… Si vous êtes une entreprise n’ayant pas pignon sur rue et que votre modèle économique repose à 100% sur de la vente en ligne, vous voilà encore plus dépendant aux avis, recommandations et humeurs de ces influenceurs et autres blogueurs.

Levier n°4 : Les concurrents qui, loin d’être vos amis, sont là pour vous coiffer au poteau !

La concurrence ne vous fera pas de cadeaux. Vous comprendrez aisément, au regard de l’importance que représente votre e-réputation, qu’il est tentant pour une entreprise adverse de s’attaquer à vous par cet angle ! La communication de certaines enseignes est d’ailleurs plutôt agressive d’un point de vue marketing. C’est ainsi que des géants de la grande distribution comme Auchan n’hésitent plus, afin de vous convaincre qu’ils sont les moins disant sur un produit spécifique, à vous rembourser 5 fois la différence de prix si vous trouvez moins cher ailleurs. Une façon aimable de déclarer que chez eux, le client paie au juste prix, pas comme chez certaines autres enseignes ! Le tout est évidemment largement relayé dans les médias.

Levier n°5 : Les médias, quand l’abondance de supports médiatiques exacerbe « l’info à tous prix » …

Les médias justement, parlons-en ! Nos grands-parents avaient pour habitude de croire tout ce qu’il y avait d’inscrit dans le journal. « C’est dans le journal ? Alors c’est vrai ! ». Cette exagération montre cependant une tendance toujours bien vivante de nos jours : l’enquête médiatique se doit de délivrer à l’audience une information la plus fiable possible.

Malheureusement, l’essor d’Internet a donné la parole à des personnes moins scrupuleuses que les journalistes de métier, personnes à la recherche de « scoops » et d’exclusivités à partager à vitesse grand V, quitte à relayer une information tronquée ou sortie du contexte. Ce qu’on appelle « fake-news ». Il y a donc arbitrage à faire entre le fait de communiquer dans la presse pour soutenir le développement de votre activité et savoir que la médaille a son envers. Si votre entreprise subit ce revers, il vous faudra sortir l’artillerie, par forcément de manière offensive, mais en tous cas avec assez d’énergie pour démentir avec des preuves et faire face à une bataille médiatique… Même si vous sortez vainqueur, il y a tout à parier que cela ne servira pas votre e-réputation sur la toile.

Levier n°6 : Google, le Tout-Puissant

Orthographe, cuisine, médecine, famille… Tous les sujets dans l’absolu existent dans un petit casier de Google…. Quelle que soit votre objectif final en matière d’informations, veuillez emprunter l’autoroute Google jusqu’à destination !

Voilà ce que vous pourriez entendre si votre navigateur pouvait parler à chacune de vos recherches sur Internet.

Pour le consommateur, Google est l’endroit idéal pour mener à bien une rapide enquête sur un produit, un service ou encore une entreprise, bref, pour glaner de l’information. Les avis des consommateurs sont à portée de clic, à l’instar des tests-produits et autres articles de la Presse spécialisée. Le réflexe de vérifier avant d’acheter est particulièrement vrai chez les 15/34 ans, grands utilisateurs de réseaux sociaux. Les réseaux sociaux justement : ils compilent une mine d’informations que l’on ne voit d’ailleurs souvent nulle part ailleurs sur la toile (source : Le Monde, 2018). N’est-ce d’ailleurs pas les réseaux sociaux qui ont rendu viral les revendications des Gilets Jaunes avant même que les messages ne résonnent dans les ronds-points ?

Constat : Des outils redoutables d’efficacité capables de relayer des informations à votre égard existent et les consommateurs savent très bien les utiliser.

Google, number One sur tous les fronts de l’information … et de la E-reputation

Aujourd’hui, le moteur de recherche détient 93% des parts de marché des moteurs de recherche dans le monde (Source : StatCounter). Cela signifie que les critères de référencement du géant américain font loi. Le SEO, aussi appelé référencement naturel, définit l’ensemble des techniques mises en œuvre pour améliorer la position d’un site web sur les fameux premiers résultats de recherche. Si un article mentionnant votre entreprise est publié sur un blog par exemple, cela va nourrir votre référencement naturel puisque votre entreprise sera citée. L’algorithme utilisé par Google va lui-même digérer cet article de blog et recalculer, en temps (plus ou moins) réel, votre référencement.

Si l’article est positif, votre e-réputation s’élève positivement. Si en revanche l’article est désobligeant… vous avez compris la logique ! Cette rapide explication met en lumière un changement notable. Avant, quand un scandale éclatait au grand jour, l’entreprise faisait temporairement la une des médias. Sa réputation se retrouvait entachée provisoirement puis l’histoire « se tassait » au bout de quelque temps. De nos jours, le web conserve aussi les traces laissées par les scandales : paradoxalement, les encres numériques sont bien plus indélébiles que les encres chimiques.

Fiable ou pas, Google distribue l’information aujourd’hui. Et demain ?

Que ce soit en France ou ailleurs, aujourd’hui, à chaque interrogation, le réflexe est de se jeter sur son Smartphone et consulter « l’ami » Google. Le nom propre est même devenu un verbe permettant de « Googliser » une personne pour en apprendre plus sur son compte…C’est dire si, toutes générations confondues, l’outil est passé dans les mœurs. Il n’y a pas de raison pour que cela change, car une sorte d’habitude s’est d’ores et déjà instaurée, ne donnant pas envie à qui que ce soit de revenir en arrière ou de changer de support, même quand on le souhaite…

Google est devenu le moyen de s’informer en temps réel, car sa capacité à compacter d’innombrables éléments issus de tous supports donne à chacun l’impression d’avoir à la fois une information exhaustive et pertinente, puisque les sources ne sont pas interprétées mais seulement présentées. L’ascension du moteur de recherche sera difficile à arrêter, ce qui permet de prévoir une stabilité du produit pour les prochaines années…

Pourquoi la première page Google, est-elle si importante ?

Parce que 50% des personnes qui initient une recherche précise sur Google s’arrêtent au bas de la première page. C’est donc l’histoire de quelques secondes pour être « reçu »ou « recalé ». Le choix est serré. Imaginez donc que votre marque apparaisse négativement en première page de Google, avec 1, 2 et même parfois 3 commentaires négatifs. Ce sera panique assurée dans vos services commerciaux…

La E réputation, arbitre sur internet

Aujourd’hui, on se sert du web pour vérifier son orthographe ou la traduction d’un mot, on se sert des réseaux sociaux pour communiquer avec des personnes éloignées (ou non) mais la réalité commerciale est importante (pour le e-commerce mais pas que…). En effet, pas d’achat sans petite visite préalable sur le web… Pour aller plus vite, pour avoir l’impression « d’en savoir plus », les internautes se servent du web consultatif pour trouver un produit qui leur plairait ou dont ils ont vraiment besoin. Une fois qu’ils l’ont trouvé, ils vont faire un tour sur les réseaux sociaux pour voir ce que l’on dit du produit ou de la marque qui l’exploite. Et un arbitrage se fera, pas forcément au profit de ce qu’ils estiment le meilleur produit, mais bien de celui, plus ou moins identique, dont on dit le plus de bien sur le net…

Cette consultation du web, particulièrement prégnante pour tout le commercial en général, se développe, voire se généralise, notamment au fur et à mesure de l’arrivée sur le marché des consommateurs des jeunes, nés avec le web et qui ne connaissent pas d’autre méthode de documentation que celle-ci…

L’impact de la E réputation sur l’image de marque

A la lumière des chiffres de consultation commerciale en perpétuelle augmentation, on peut dire avec certitude que l’impact de la E-reputation est particulièrement imposant sur les marques très dépendantes de leur notoriété, liée aux tendances du moment. Il en va ainsi pour les marques de luxe, les marques de prêt à porter, de produits cosmétiques, de bijoux, etc… Les internautes sont très sensibles aux achats qui impactent leur propre image de marque, ou tout au moins, le visage qu’ils offrent à leur entourage, à leurs amis, à leurs employeurs, à leurs conquêtes. Ils ne pardonnent donc pas facilement à un objet « de marque » censé améliorer cette image, si celui-ci faillit à sa tâche. Les commentaires négatifs iront alors bon train et seront repris à la vitesse du son. Grave crise de E-réputation pour la marque, dont les affaires vont sans doute connaître, au mieux, un ralentissement….

Quels résultats sur les ventes quand une marque est décriée ?

Certaines marques sont des « pure players », c’est-à-dire qu’elles ne vendent que par le biais d’internet. Pas d’Internet, pas de ventes. Une mauvaise réputation sur Internet ? Pas de ventes non plus… Pour ces marques, il est incontournable de gérer sa réputation on line au plus fin et avec une grande attention. Il faut absolument que le volume de commentaires et avis positifs soit plus important que le volume des éléments négatifs à l’encontre de la marque. C’est le principe de la balance, qui doit pencher du bon côté pour booster l’envie des internautes d’acquérir les produits de la marque. C’est une véritable campagne de communication positive qui doit être mise en place pour éviter la catastrophe quasiment inévitable d’un Bad buzz qui viendrait ternir, voire détruire, la bonne notoriété de la marque. Il est difficile d’annoncer des chiffres, mais on peut être sûr que les pertes sont très importantes quand le couperet tombe : baisse considérable des ventes, pertes irrattrapables de chiffre d’affaires, licenciement…. Faillite….

QUELQUES EXEMPLES DE MISSIONS/SERVICES QUE NOUS RÉALISONS POUR LES ENTREPRISES :

Création d’une stratégie technique de gestion de crise. Pour cela, nous mettons en œuvre plusieurs leviers de nettoyage :

ENFOUISSEMENT OU ENSEVELISSEMENT

  •  Audit et état des lieux,
  •  Création d’une stratégie technique de gestion de crise par votre chef de projet dédié. (Bouclier Numérique)
  •  Ensevelissement des contenus identifiés comme néfastes et diffamatoires,
  •  Optimisation du référencement naturel de vos médias existants,
  •  Création et dynamisation de vos réseaux sociaux (Facebook, Twitter…),
  •  Création de blogs,
  •  Création et mise en ligne de communiqués de presse,
  •  Création et mise en ligne de contenus positifs,
  •  Optimisation et mise en avant de contenus ou d’articles existants publiés sur le web,
  •  Optimisation et mise en avant de contenus ou d’articles existants non publiés sur le web,
  •  Suivi permanent…
En savoir plus

JURIDIQUE

  •  Identification des auteurs des contenus injurieux et pages diffamatoires
  •  Mises en demeure par nos avocats partenaires,
  •  Constats d’huissiers,
  •  Demande et gestion du droit de réponse,
  •  Projet d’assignation,
  •  Action en référé par nos avocats partenaires …ou par l’avocat de votre choix.
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